Je suis une petite fille touché par les gaz toxiques. Je suis une Alpha. Malgrès ma peau aussi blanche que celle des vampire je reste un loup. Un loup au pelage plus blanc que la neige. Un loup avec quatre, pattes un museau et des sens hors normes. Un lycans. Enfin, le chef de meute des Bétas. Tout mes seconds. Des seconds imaginaires. Je suis l'Alpha d'une meute disparue. Alpha d'on tout en sa forme de loup respire la puissance. Des muscles puissants transparaisse sous ce manteau de fourrure. Une fourrure épaisse me protégeant contre tout. Une chasseuse hors paire. La louve que je suis et une louve, au beaux yeux d'or avec de petites pépites d'émeraudes.

Dans mon ancienne apparance, je suis une petite blonde aux yeux émeraudes. Je dois mesurer entre 1 mètre 40 et 1 mètre 55. Petite n'est-ce pas ? Et mes longs cheveux blonds telle de l'or, m'entour en un alo parfait. Mes cheveux, il boucle à la pointe. Et avec mes grands yeux émeraudes. Des yeux éteints, qui ne veulent qu'une chose se rallumer. Une bouche rose pâle, fine et scintillante. Un petit nez fin, imperceptible. Un cou de la parfaite longueur. J'ai un corps parfaitement proportionné. Et malheureusement, même au niveau de mon tour de poitrine. J'aimerais la voir un peu plus grosse. Mais bon pas grave...

En fait à me voir je suis la fille parfaite. Et avec les habits du deux millènaires dernier je passe pour une poupée quand je ne bouge pas. Une poupée inanimée qui ne trouve refuge que la nuit, sous les arbres, en parfaite harmonie avec la nature m'entourant et le savoir quittait mon corps. Un vide s'installe en moi et je ne suis plus qu'une coquille vide. me retrouve dans un état second. Bras pendouillant, les yeux rivé vers un point inconnue.

Ah, oui ! J'allais presque oublier. Je garde toujours une pipe avec quatre tâche bleu, symbole de mon appartenance à ma famille. En fait à l'origine c'était un trèfle vert avec au centre un coeur bleu. Je l'ai un peu modifié grâce au puit de la sagesse.

Une petite fille un peu trop naïf pour croire tout le monde qui au fil des années à préféré devenir égoïste que de rester elle-même. Cette phrase résume un peu tout. Mon histoire et mon mental. Quoi de mieux qu'être égoïste, au moins tu ne vois pas quand tu blesse quelqu'un.

Il n'y a pas qu'une aura de puissance qui m'entoure en permanance. Non, il y a aussi une touche de mystère. Mon histoire je ne l'a raconte à personne. La pitiée c'est pour les nuls. La pitiée sa fait mal. La pitiée c'est la pire chose au monde. Je la hait. Je suis une petite fille qui connait les valeurs de ce monde et qui a réponse à tout. Le puit du savoir m'informe à tout moment de ce que mon cerveau tente de comprendre. Rien ne peut m'échapper. Et c'est aussi à cause de cela que... J'ai su. J'ai su que je ne devait faire confiance à personne. De ce monde, la seule personne qui est digne de confiance et soit. Que dire quand tout ceux qui vivent avec vous, se met à vouloir vous posséder. Je n'ai confiance qu'en moi-même, et personne d'autre n'a le droit de troubler cette tranquilitée. Et en plus d'être égoïste, je suis pire qu'une mule. Quand je décide quelque chose c'est pour m'y tenir. C'est un engagement pour la vie. Et c'est aussi pour ça que, quand je me suis décidé à haïr les humains, je les ai vraiment haït. Tout au long de cette guerre entre races. Les humains sont la pire chose qui ait existait.

Le puit de la sagesse, est en fait une partie de nous, que nous développons pas. En fait nous somme que des humains génétiquements modifiés, des objets que l'on doit ce passer et qui continuera à suciter la gène parmis nos anciens collègue de race. Pour eux nous somme que des objets qu'ils doivent dresser pour mieux utiliser...

Née 14 ans avant la fin de notre airs. Des parents aimants. Non, je les idéalises. Ils partaient très tôt au matin pour rentrer le soir très tard. Ou ils passaient plusieurs nuits blanches au bureau. Enfin, c'est ce qu'ils ce disaient. Mais ils ne pouvaient pas savoir que, le soirs quand il rentre avec un amant ou une maitresse, j'étais encore réveillé en train de terminer mes devoirs. Alors, petites filles dans une grandes maison, qui de l'autre côté du manoir entendé des cris, j'avais bien peur. Quand j'ai raconté ça à ma mère un soir ou elle rentrait après une dure journée de travail, elle à pété un plomb. Elle est montée droit dans la chambre parental, prit tout les affaires de papa et les a jeté par la fenêtre. Quand mon père à vu ça il est montée droit dans les escaliers et... Il a commencé à taper maman. Je lui disait d'arrêter, mais il continuait, encore et encore. Toujours plus fort. Il était 3 heures 48 minutes et 33 secondes, quand mon père arrêta. J'avais arrêté de pleurer et regardais la scènes de mes rands yeux émeraude, éteint. C'est à ce moment là que je m'efondrais complétement. C'est de ta faute. C'est de ta faute !. C'est de ta faute !!! Il hurlait. Il pleurait. Il était enragé. Prit mes cheveux blonds, qui étaient déjà longs à l'époque et me tira jusque dans la tour, au fin fond de notre immense jardin. Et m'y laissa. Mourrante de faim, il m'apportait un repas par jour. Et avec moi, dans cette horrible tour, il y avait un cadavre pourrissant. Un cadavre dont l'odeur fétide me faisais pleuré. Je n'avais que 8 ans à l'époque et je haïssais déjà ces stupides humains qui ne savaient contenir leurs rages.

6 ans ont passés à une vitesse des plus lentes. Cette haine qui m'habitait autre fois a laissé place à un ennui profond. Le tas de chair pourrissant lui à laissais place à un squellette ne signifiant plus rien pour moi. Le plus pire à été le moment ou j'ai vu ses organes internes. Quelle horreur ! Et puis un soir, mon père à ouvert la porte à tout volé et ma tiré vers lui. Il avait une cabane anti-atomique. Et m'avais lancé dedans me donnant la clés au cas où il se passerait quelque chose, et il partit. Les semaines passèrent, toutes aussi ennuyantes. Les vivres eux s'étaient épuisés depuis hier. Je sortis de l'abris. Une brume si épaisse que je ne voyais pas plus loin que le bout de mon nez. J'avancais et je me mis à tousser violemment. Cette brume avait une odeur repoussante. Je passa mon bras devant ma bouche en continuant à avancer. Et après quelques heures de marches, je tombe sur quelqu'un, au sens propre du termes. Un troue énormes, enfin pour moi... à été creusé en plein milieu d'un champs. Cette personne avait un masque à gaz et quand il me vit, ces yeux se sont ouvert en grand et il est partit en courant. J'ai suivit la direction qu'il à prit. J'étais fiévreuse, et une voix résonna dans ma tête, prend à gauche, les indice te le dirons... Je pris à gauche. C'est à ce moments là que j'entendis des voix. Encore lointaine mais je commençait à les entendre. Qu'elle joie ! Mais je n'arriva que deux ou trois heures après. Que c'était étranges.J'arrivais enfin dans une énormes salle de réception sous terre. J'étais arrivé. Une vague de joie m'emparais déjà, mélangé à une fatigue immense. Je m'effondrais sur le sol.

J'étais dans une sorte d'état second et j'avais mal partout. Je voulais ouvrir les paupières, elles étaient trop lourdes.

-Elle c'est réveillée ?

-Non, pas encore.

-Quelle est sont pouvoir ?

-On ne le sait pas encore

-Vous me préviendrait quand elle ce réveillera. Je suis quand même sont père.

Et je ressombrais dans ce néant. Je rêvais d'un savoir incalculable. D'un force inouit. D'un amour pour la nature immense. Je rêvais que je courais en compagie d'autres personnes comme moi. Mes Bétas. Et je me réveillais. L'homme que j'avais croisait au départ repartit en courant. Quelques secondes après c'est mon père qui est arrivé. Je me mis à trembler comme une feuille. Quelque chose me disait que je ne devais pas lui faire confiance. Qu'il n'était qu'un être qui ne veut que le mal. Sûrement mon instinct. Cette homme est un homme avide de pouvoir. Jusqu'a sa mort, et lontemps après, je fus enchaînée pendant plusieurs génération. J'étais le savoir qu'ils n'étaient pas. J'étais même plus vieille que ces imbéciles et je ne connaissais rien de la surface. Qui, depuis lontemps, était enfin en paix. Un garçon, me libéra un jour. Il me disa des paroles douces et réconfortantes que je laissaient gravé dans mon coeur. Ce garçon, il n'avait que 6 ans quand il mourrut. Les hommes et les femmes qui habitaient encore sous terre avaient besoin de ma sagesse. Moi j'étais déjà partit et je courais dans les bois. J'étais plus rapide que l'éclair. Et brusquement, cette joie disparut ausitôt qu'elle était apparut. Et je pleurais. Je pleurais à chaude larmes. Non, je ne pleurer pas comme tout autres humains. Je pleurais comme un chien le ferait. Et je remarquais enfin que j'étais un loup. Je sentais la terre qui m'entourais. Et je sentit l'âme du petit garçon s'envolait à tout jamais. Il repartait là ou il avait été créer. Et moi, je n'avais pas grandis d'un pouce. J'étais la sorcière. Non j'étais un Alpha sans meute, qui n'existais plus que sous la forme de la sagesse. Le savoir, c'est moi. Mais, est-ce qu'un jours je pourrais enfin supporter ce surplut de savoir en moi ? Je ne crois pas, non. Ma vie, je l'ai passé jusque maintenant en état second, ou j'avais perdu connaissance. Une vie qui ressemblait plus à l'enfer que à autre chose. J'ai vécu plus de deux millènaires et demis sans rien connaître du monde que cette tour et cette prison.

Les transformations, après celle-là je les sentaient dans tout mon corps.  Des poils me poussaient, douleur insoutenable quand mes mains et mes pieds devenait pattes, quand ma tête s'allongeait pour devenir gueule. Et j'analysais encore et encore cette situations sans savoir comment je peux arrêté d'avoir mal. Mais je ne voulais pas non plus rester humaine. La plupart du temps vous me verrez sous ma forme de loup, parfois sous ma formes humaine. Peu commode car elle est faible, mais elle me permet un contact "normale" pour avoir des défis à relever et à apprendre à amadouer ce pouvoir. La seule chose que je comprenais maintenant, c'est quand dans les films, les humains ce transformant poussent des gémissement ou des cris. La transformations fait si mal parfois...

Je nourris aujourd'hui deux grands rêves. Faire le tour du monde et apprendre pleins de chose, que je connais déjà techniquement. Avoir plein d'amis.